samedi 28 septembre 2013

Au potager (Été 2013)

Été 2013

La saison estivale étant derrière nous, le temps est venu pour moi d'effectuer un récapitulatif de notre tout premier potager au jardin. Désirant le plus possible prolonger le design intérieur de notre maison vers son extérieur, nous tenions absolument à créer un potager qui afficherait un air contemporain aux lignes épurées et définies. C'est avec cette idée directrice que nous avons débuté nos recherches dans divers livres et revues. 

Parce qu'il est facile à organiser et à entretenir, parce qu'il offre une grande diversité de fruits et de légumes à chaque saison et parce que les sous-carrés qu'il contient permettent d'obtenir un grand rendement dans un espace réduit, donc bien défini en notre sens, notre choix s'est arrêté sur le potager en carrés.




Selon l'aménagement que nous désirions, nous avons choisi de créer 5 carrés qui contiendraient au total 96 sous-carrés qui produiraient plusieurs variétés de fruits, légumes et fleurs. Dès le mois de mars, nous avons choisi nos matériaux de construction et c'est au mois d'avril que mon copain a débuté l'assemblage des 5 carrés ayant une structure en bois et qui sont teints à l'extérieur seulement. Dès les beaux jours d'avril, nous sommes sortis au jardin et avons disposé nos carrés aux emplacements choisis. Afin de freiner l'apparition et la croissance de mauvaises herbes, nous avons pris soin d'installer à la base de chacun des 5 carrés une membrane géotextile. 



Afin d'obtenir une terre des plus fertiles qui soient, nous avons combiné 5 types de compost, de la tourbe de sphaigne et de la vermiculite que nous avons mélangés sur une grande bâche à l'aide de pelles. 

Après l'obtention d'un mélange parfaitement homogène, nous avons versé celui-ci uniformément dans nos 5 carrés que nous avons séparés en 96 sous-carrés égaux à l'aide de fil à pêche et d'agrafes.



Dès le 4 mai, nous avons semé nos graines choisies et avons arrosé abondamment le sol. Pour cette année 2013, nos semences étaient :



Tomates cerises rouges
Tomates cocktail jaunes
Tomates roses
Tomates rouges
Pommes de terre jaunes
Courgettes
Concombres
Radis
Fenouil
Aubergine
Haricots jaunes
Haricots à rames verts
Bette à cardes
Persil
Estragon
Coriandre
Basilic
Thym
Poivrons rouges
Poivrons verts
Carottes
Carottes multicolores
Piments forts
Fraises
Fraises sauvages
Pak choy
Laitue boston
Roquette
Épinards
Plusieurs variétés de fleurs

Nous avons tellement apprécié goûter et cuisiner nos propres fruits et légumes, qu’il est assuré que nous recommencerons le printemps prochain et les suivants.



 

samedi 21 septembre 2013

Pizza à la roquette, au parmesan et aux noix de pin

Composée de quelques ingrédients de qualité, la pizza peut prendre des airs de raffinement en quelques instants à peine. Je suis d’avis que les meilleurs plats sont souvent ceux qui contiennent très peu d’éléments, qui une fois combinés, forment une explosion de saveurs et de textures en bouche. Ici, la roquette fraîche côtoie la tomate mûre et les copeaux de parmesan enrobent subtilement les noix de pin craquantes où le tout recouvre généreusement une pâte à pizza souple et fine. Mmmmmm!

Rendement : 1 pizza

1 disque de pâte à pizza
2 grosses tomates mûres
Huile d'olive
Sel de mer
Poivre noir du moulin
1/3 tasse de noix de pin grillées
tasse de copeaux de parmesan frais
1 ½ tasse de roquette fraîche

Couper les tomates en dés moyens et les déposer dans une grande poêle.  Ajouter suffisamment d’huile d’olive afin que les tomates ne collent pas à la poêle.  Saler et poivrer généreusement.  

Cuire les tomates à feu moyen jusqu’à ce qu’elles se défassent et forment une sauce épaisse, soit environ 20-25 minutes. Réserver la sauce.

Répartir la sauce tomate sur la pâte à pizza.  Cuire au four préchauffé à 500°F (dans le bas du four) pendant 10 minutes ou jusqu'à ce que les bords de la pizza soient dorés.

Retirer la pizza du four et la garnir de la roquette, des noix de pin et des copeaux de parmesan.  Tailler en portions et servir.

dimanche 15 septembre 2013

Gaufres pomme et cheddar

Parce que la cueillette des pommes est à nos portes, j’ai le désir de cuisiner ce fruit sous plusieurs formes. Quelle soit la vedette d’une tarte, d’une croustade, de biscuits, de barres, de muffins ou quelle soit présente dans un gruau, dans un potage ou dans des gaufres comme ici, la pomme est assurée d’être bien mise en valeur chez moi car c’est l’un des fruits que je préfère cuisiner.

Ces gaufres, à l’intérieur moelleux qui goûte bon la pomme et à l’extérieur légèrement salé grâce au fromage qui grésille à la cuisson, sont délicieuses et comblent bien mon appétit qui apprécie sans contredit cet éternel duo qu’est la pomme et le cheddar. Un essai culinaire coup de cœur que je compte bien recommencer sous peu!


Rendement : 6 gaufres

1 c. à table d’huile de noix de coco ou de canola
¾ c. à thé de cannelle moulue
¼ c. à thé de muscade moulue
1 grosse pomme pelée et hachée finement
½ tasse de farine de blé entier
½ tasse de farine tout usage non blanchie
1 c. à table de sucre
1 ½ c. à thé de poudre à pâte
½ c. à thé de bicarbonate de soude
¼ c. à thé de sel de mer
1 œuf
1 tasse de lait d’amande, de soya ou de votre choix
2 c. à table de compote de pommes non sucrée
¾ tasse de cheddar fort râpé

Dans une petite poêle, chauffer l’huile et y ajouter la cannelle et la muscade.  Ajouter les dés de pomme, les enrober des épices et les cuire jusqu’à ce qu’ils soient tendres.

Dans un bol, mélanger les deux farines, le sucre, la poudre à pâte, le bicarbonate de soude et le sel.  Bien mélanger. 

Dans un autre bol, mélanger l’œuf, le lait, la compote de pommes et le cheddar.

Incorporer ce mélange au premier et laisser la pâte reposer pendant 5 minutes avant de cuire dans un gaufrier légèrement huilé.

Servir avec du sirop d’érable et garnir de dés de pommes supplémentaires et de noix si désiré.

Les gaufres cuites peuvent être congelées et être réchauffées au grille-pain.

samedi 7 septembre 2013

Sauté de tofu et noix de cajou à la sauce chili

Septembre signifie pour plusieurs d’entre nous, le retour à un rythme plus routinier, plus casanier également. Toutefois, ce n’est pas pour me déplaire, moi, qui apprécie tant être affairée à mes chaudrons et également à mes manuels scolaires.

Au retour des vacances comme ça, il faut tout de même planifier et prévoir toute l’organisation des étapes nécessaires à des tablées et à des goûters pour emporter qui ont fière allure et, à vrai dire, j’aime bien le côté réconfortant de la chose. C’est pourquoi je note et note et renote encore tous les petits plats que je veux créer et/ou que je veux essayer. Celui-ci par exemple, est une belle découverte qui m’a bien plu et que je cuisinerai à nouveau.


Rendement : 4 portions

Sauce
¼ tasse de sauce chili du commerce
2 c. à table de sauce soya réduite en sel
2 c. à table de mirin
½ c. à thé de sambal oelek
½ c. à thé de fécule de maïs

Sauté
454g de tofu ferme Liberté
1/3 tasse de fécule de maïs
Huile d’arachide
2 c. à thé de gingembre frais pelé et haché
1 tasse de noix de cajou non salées et grillées
1 bouquet de coriandre hachée
Sel de mer et poivre noir du moulin, au goût

Tailler le tofu en tranches et les déposer sur un linge propre et sec.  Recouvrir d’un deuxième linge et déposer un poids pour environ 15 minutes.  Ce processus permet d’extraire le maximum d’eau du tofu.

Entretemps, dans un petit bol, mélanger tous les ingrédients de la sauce, réserver.

Tailler les tranches de tofu en bâtonnets et les enduire du tiers de tasse de  fécule de maïs.  Secouer les bâtonnets afin de retirer le surplus de fécule et les réserver dans une assiette.

Dans un wok, chauffer l’huile et y cuire les bâtonnets de tofu quelques-uns à la fois.  Déposer sur un papier absorbant, saler et poivrer.

Dans le wok, cuire le gingembre environ 1 minute.  Ajouter la sauce et porter à ébullition en remuant.  Ajouter le tofu et les noix et poursuivre la cuisson en remuant afin d’enrober et de chauffer tous les ingrédients. 

Servir le sauté garni de la coriandre fraîche sur un niz de riz et accompagner de légumes cuits à la vapeur.
Source : Adaptation d’une recette de http://www.ricardocuisine.com

dimanche 1 septembre 2013

Crostinis à la poire, au brie et aux noix de Grenoble

En guise d'apéro ou faisant partie d'une entrée, les crostinis représentent une belle idée où la créativité peut porter votre plat vers plusieurs avenues fort intéressantes. Qu'ils soient composés de poivron mariné, de roquette, d'artichaut, de pomme, de pesto, de fromage à pâte molle ou plutôt ferme, de noix de pin, de tapenade, de tomate, de pacane, de câpre, de zeste d'agrume, d'olive ou de tout autre ingrédient dont votre palais raffole, vos crostinis seront certainement un succès car ils contiendront une combinaison d'aliments qui vous sont chers. Allez-y, osez vos ingrédients favoris sur un croûton de pain bien craquant!


1 baguette de pain
2 c. à table d’huile d’olive
1 poire mûre, tranchée finement
1 c. à table de beurre
1 c. à table de sirop d’érable
1 petit fromage brie tranché
½ tasse de noix de Grenoble

Préchauffer le four à 350°F.

Trancher la baguette sur la diagonale et déposer les tranches sur une plaque de cuisson munie d’un papier parchemin ou d’un tapis de silicone.  

À l’aide d’un pinceau à pâtisserie, badigeonner légèrement les tranches de baguette d’huile d’olive.  

Cuire au four de 4 à 6 minutes ou jusqu’à ce que les tranches de baguette soient légèrement dorées.

Entretemps, dans une poêle, cuire les tranches de poire dans le beurre et le sirop d’érable jusqu’à ce qu’elles soient tendres. 

Déposer les tranches de poires sur les croûtons de pain.  Les recouvrir des tranches de brie et les garnir de noix.

Cuire les crostinis au four à 350°F jusqu’à ce que le fromage commence à peine à fondre.

Servir aussitôt.